dimanche 3 mars 2013

Mars 2013

31/03
Pâques!
Le temps de Pâques.La résurrection.
Et le renouveau de la nature qui tarde à se manifester!



Discours et bénédiction du pape.
Un peu courte à mon goût,il n'a pas respecté la tradition de dire en une soixantaine de langues!!







Promenade à l'abbaye de Tamié:




Jeudi soir je suis allé à la messe du jeudi saint.
Très bien,et église presque pleine!






 Des huîtres,pour faire un "petit réveillon".


Jour de Pâques
Le tombeau vide et la foi des Apôtres (Jn 20, 1-9)
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin, alors qu'il fait encore sombre. Elle voit que la pierre a été enlevée du tombeau. Elle court donc trouver Simon-Pierre et l'autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l'a mis. »
Pierre partit donc avec l'autre disciple pour se rendre au tombeau. Ils couraient tous les deux ensemble, mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. En se penchant, il voit que le linceul est resté là ; cependant il n'entre pas. Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau, et il regarde le linceul resté là et le linge qui avait recouvert la tête, non pas posé avec le linceul, mais roulé à part à sa place. C'est alors qu'entra l'autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut.
Jusque-là, en effet, les disciples n'avaient pas vu que, d'après l'Écriture, il fallait que Jésus ressuscite d'entre les morts.
 Homélie
Il y a beaucoup de mouvement, beaucoup d'empressement dans cette page d'Evangile. Dans une ambiance sombre où la nuit domine encore sur le jour, des personnes courent ; même, se précipitent : on sort, on rentre, on repart en courant... On court. Mais, est-ce que ça vaut vraiment la peine de courir ? Question saugrenue, direz-vous !
Je la pose tout de même, car il se trouve que nous aussi, nous courons beaucoup, et de plus en plus. Qu'en dite-vous ? Cette civilisation qui nous porte (et que nous formons) n'arrête pas, dans toutes ses composantes, d'augmenter les rythmes, de mettre la pression : les communications, le TGV, notre travail, la circulation, les avions, les rapports humains... Surtout il faut faire vite ! Plus vite, plus vite, Messieurs-Dames !
Tout s'enchaîne à une vitesse de plus en plus frénétique. Il ne faut pas « PERDRE SON TEMPS ». On nous dit que, de telle manière, « ON GAGNERAIT DU TEMPS». Ah ! D'abord : qu'est-ce que cela signifie « gagner du temps » ? Il serait utile de se poser la question. D'autre part, il ne faudrait pas que ce temps supposé gagné soit ensuite employé pour... trouver le moyen d'aller, après encore plus vite ! Et pourtant telle est, aujourd'hui, l'impression que l'on a. Notre société, notre milieu de vie nous entraîne, nous pousse, nous tiraille, nous impose la mesure : impossible d'y résister ! Car, disons-nous, si nous faisons résistance, nous risquons d'être renversés. Et, le pire, c'est que cela n'est pas faux.
Ne croyez-vous pas qu'il faudrait avoir le courage de s'arrêter, de se poser autrement, de souffler, pour réfléchir, pour essayer de comprendre et... pour ne pas s'éloigner du chemin qui nous mène dans la bonne direction ? Je cite (sans contrôler ma source) un aphorisme de l'écrivain autrichien Arthur Schnitzler qui disait à peu près cela : « Mais où cours-tu ? Ne vois-tu pas que tu vas dans le sens opposé à ce que tu cherches et donc, que tu t'éloignes encore plus rapidement, de ton but ? ». Cette frénésie, cet emballement nous enlève souvent la lucidité nécessaire pour y voir clair et notre action désordonnée nous entraîne ailleurs.
Donc, frères et soeurs, la question : « courons-nous dans le bon sens ? » n'est pas superflue. Et il y a, c'est vrai, une mauvaise agitation, un mauvais empressement.
Mais, il y en a aussi un bon. 'Je me dis qu'il faut absolument trouver le moyen, tout d'abord, de réfléchir sur nos choix de fond, pour, ensuite, se hâter, s'il le faut, pour faire des bons choix.
Dans notre page d’évangile, nous retrouvons les apôtres, enfermés, dans l'impasse ; plutôt « sonnés » (passez-moi le terme), terrassés par ce qui venait de leur arriver. Il faut dire qu'à leur place nous n'aurions pas su faire autrement ! Et la nouvelle apportée par Marie Madeleine, encore assez énigmatique, les oblige à se mobiliser, à se hâter, à courir, oui, à courir pour voir, pour comprendre un peu plus.
Ont-ils donc déjà perçu, soupçonné ? Non, à l'évidence : D'ailleurs, l'événement est tellement au delà de toute attente, tellement impensable, qu'il leur a fallu du temps pour entrer dans cette nouvelle perspective. Ressusciter des morts ? « ... sur cette question nous t'entendrons la prochaine fois », disent à Paul les philosophes athéniens de l'Aréopage.
Mais, cette course de Pierre et de Jean nous révèle déjà une lueur dans les ténèbres : l'énergie nécessaire pour les dynamiser d'où vient-elle ? Et cette affirmation qui fait référence à Jean, au bout de la course : « Il vit et il crut » ne supposait-elle pas une espérance emprisonnée, un énorme désir enfermé quelque part ? Nous portons en nous ce désir puissant de VIE : la mort, bien que tragique, absurde, n'est donc pas définitive ! Nous le savons, maintenant.
Telle est notre joie en ce matin de Pâques. Cette course, cette « bonne course » vers le sépulcre vide nous entraîne vers celui que nous attendions depuis toujours, sans trop oser y croire.
Saint Paul, dans la Lettre aux Philippiens, utilise, lui aussi, la métaphore de la course : « je poursuis ma course pour tâcher de saisir, ayant été moi-même saisi par le Christ Jésus».
Que le Christ soit vraiment ressuscité, cela nous regarde tous : les apôtres, les femmes du récit et... nous, nous qui sommes ici pour entendre la proclamation de cet évangile, pour être confortés dans notre foi et pour pouvoir ensuite la transmettre aux autres...
La voilà la bonne nouvelle pour nous, frères et soeurs: le Christ est Ressuscité ! Oui, il est vraiment ressuscité !
                                          Alors courons !
 Nuit de Pâques

Le tombeau vide et la foi des Apôtres (Jn 20, 1-9)
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin, alors qu'il fait encore sombre. Elle voit que la pierre a été enlevée du tombeau. Elle court donc trouver Simon-Pierre et l'autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l'a mis. »
Pierre partit donc avec l'autre disciple pour se rendre au tombeau.
Ils couraient tous les deux ensemble, mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. En se penchant, il voit que le linceul est resté là ; cependant il n'entre pas. Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau, et il regarde le linceul resté là, et le linge qui avait recouvert la tête, non pas posé avec le linceul, mais roulé à part à sa place.
C'est alors qu'entra l'autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut. Jusque-là, en effet, les disciples n'avaient pas vu que, d'après l'Écriture, il fallait que Jésus ressuscite d'entre les morts.
 Homélie de la veillée pascale
Homélie nuit de Pâques 2013.

Christ est Ressuscité. Pourquoi cette nouvelle serait-elle d'importance capitale pour chacun de nous ?
Je dis « pour nous » qui sommes ici, cette nuit et, aussi, pour les autres qui ne sont pas là mais qui cherchent, ailleurs, confusément, peut-être, le sens de leur vie...
En disant que Jésus, le Christ, est ressuscité, cela me fait penser d'abord à la mort. Il se peut que vous ne trouviez pas cette pensée très gaie, surtout une nuit de Pâques. Mais pour moi elle s'impose, elle est évidente : pour chacun de nous, grands et petits, la mort  est l'obstacle, l'échec infranchissable de chacune de nos vies.
Sur cette évidence on peut bien glisser, détourner son attention, ou encore passer rapidement, afficher un manque d'intérêt, la renvoyer à une autre fois (c'est ce qu'on fait d'habitude). Mais nous ne pouvons pas indéfiniment tricher. Non, qu'on le veuille ou non, cette dure réalité nous accompagne d'un bout à l'autre de notre vie. Tous. Tous, les moins jeunes d'abord, mais aussi, les plus jeunes. La découverte de ce tombeau vide, de cet espace béant, ouvre donc, pour nous aussi, une fenêtre là où l'horizon était indéniablement bouché.
Devant ces femmes qui, courageusement, s'aventurent dans la nuit pour accomplir, bien plus qu'un rite funéraire, ce qui semble plutôt être un acte d'affection, d'amour et aussi un cri vers le ciel, devant elles s'ouvre une page absolument inédite. Et pas seulement pour elles.
J'ai parlé de rite. Le fait d'aller au sépulcre n'était-ce pas davantage une manière d'atténuer une angoisse inexprimable, sans borne. Qu'en dites-vous ? La perte définitive d'un être cher. Que dire, comment faire face à la mort d'une personne aimée ? Quelle réponse peut-on se donner ? Vous le savez aussi bien que moi : aucune. Aucune. Il n'y a pas de réponse possible.
Et voilà l'inattendu, l'inouï. On leur dit : « Celui que vous cherchez n'est pas ici, dans son tombeau, parmi les morts. Non, il est vivant ! IL EST VIVANT ! ». Cela veut dire quoi : « il est vivant ? ». Qu'il est revenu à la vie ? Non, beaucoup plus que cela : qu'il est entré dans une vie nouvelle.
Cette bouleversante, surprenante nouvelle (que les femmes, tout de suite n'ont pas pu comprendre à fond) ne sort pas du néant, comme un coup de foudre, bien qu'insoupçonnable, elle s'inscrit dans un parcours complexe, qui vient de loin; c'est l'aboutissement d'un long, très long cheminement humain et divin, un chemin d'alliance, que nous appelons : histoire du salut. Une histoire chargée d'espérance, d'échecs, de trahisons et de pardons. Une histoire que la belle liturgie de cette nuit nous a aidés à reconsidérer, actualiser, revivre. Tous ces signes, ces symboles nous aident à comprendre à quel point nous y sommes impliqués. Car dans cette histoire du salut nous y sommes !
C'est vrai, à nous aussi, il nous faut du temps pour comprendre : la nouvelle est tellement bouleversante que nous avons, forcement, du mal à y croire. Comme pour les Apôtres, ces propos des femmes qui reviennent avec leur étrange annonce nous semblent délirants (c'est le mot même de l'évangile): beaucoup trop beaux, n'est-ce pas, pour être crus ; au premier abord nous les estimons invraisemblables. Et effectivement, si la foi ne venait pas nous éclairer, comment pourrions-nous les accepter, les recevoir. Comment pourrions-nous y croire ?
Mais voilà que l'espérance nous conduit au-delà du doute, de la déception et de la peur. Bien au-delà de nos horizons limités, de nos impasses, de nos déceptions, l'espérance nous pousse ; elle est plus grande, plus forte que nos résistances, que nos doutes. L'apôtre Pierre nous entraîne et, avec lui nous courons au tombeau. Pierre constate, nous dit le texte de Luc, que le tombeau est vide. VIDE ! Le corps du mort n'est plus là. Et pourtant c'est bien là qu'on l'avait mis ! Il voit le linceul qui enveloppait le corps de Jésus, plié, à part. Donc on n'est pas venu prendre, voler son corps.
Croit-il aussitôt ? Non, Le texte nous le fait comprendre. Il nous dit : « Il s'en retourna chez lui tout étonné de ce qui était arrivé ». Étonné. Point.
Nous le savons par expérience : long est le chemin de la foi ! Toutefois, une lueur grandit en lui, tout comme cette aube qui est radicalement différente des autres qui l'ont précédée.
Mes propos ont commencé par une question : en quoi la résurrection du Christ serait-elle importante pour chacun de nous ? Maintenant nous allons rentrer chacun chez soi. J'aimerais vous poser une autre question encore, pour que vous l'emportiez avec vous ; une question qui est en étroite relation avec notre foi : de même que pour les femmes et pour l’Apôtre Pierre que nous avons vécu, vu et entendu en cette nuit, comment pourrions-nous le TÉMOIGNER, le VIVRE dans notre quotidien ? C'est à chacun de nous, de vous, de répondre.
À chacun de nous dans l'action, le témoignage de notre vie.


23/03Une belle rencontre avec Hélène.


Pause à Crescendo.
Petits films astros:
Un autre exemple avec la plaine nord au Pic du Midi (le film complet est visible sur notre site).




L'un des cinq moteurs de la fusée Saturne 5 qui a propulsé Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michaël Collins vers la Lune le 16 juillet 1969 a été récupéré au fond de l'Atlantique.
Nous vous l'annoncions dans Ciel et Espace d'avril 2012 (p. 13) : la fondation du milliardaire américain Jeff Bezos, fondateur du site Amazon, avait repéré l'épave du premier étage d'Apollo 11 par 4270 m de fond. Appelé S-IC, cet étage de 42 m de long pour 10 m de diamètre avait arraché les 3000 tonnes du vaisseau spatial à l'attraction terrestre jusqu'à 68 km d'altitude. Ensuite, il s'était séparé de la fusée pour retomber dans l'Atlantique par 30° 13' de latitude nord et 74° 2' de longitude ouest.
Epave spatiale remontée
Jeff Bezos et son équipe, après avoir identifié l'épave abîmée du vaisseau spatial, avait annoncé son intention de la récupérer pour en exposer les restes dans un musée. L'étape la plus difficile de ce projet vient donc d'être réussie.
L'un des cinq moteurs a été remonté. Il s'agit du plus puissant moteur de fusée à chambre de combustion simple jamais construit. Récemment, des ingénieurs de la Nasa ont fait fonctionner le générateur de gaz de ce moteur, récupéré au musée, en vue de construite les boosters à carburant liquide de futur lanceur lourd américain, le SLS.
D'autres éléments ont été également remontés, comme une turbine et un injecteur d'oxygène liquide. Ci-dessous, le premier étage d'Apollo 11 photographié avec ses 5 moteurs géants, avant son assemblage à Cap Canaveral.
Premier étage d'Apollo 11. Crédit : Nasa/Ciel et Espace Photos
Une scène sous-marine
Avant de ramener à la surface les éléments de la fusée, l'équipe de Jeff Bezos a soigneusement photographié et filmé la scène sous-marine. L'étage, qui a percuté l'océan à grande vitesse après avoir atteint 8000 km/h, s'est désintégré. Mais ses éléments les plus lourds ont résisté. Tordus et corrodés, ils ont attendu 44 ans sous l'eau avant d'être revus.
La vidéo ci-dessous montre ces éléments approchés par les sous-marin téléguidés de Jeff Bezos.





Le musée en perspective
Tous les éléments remontés du fond de l'océan devraient rejoindre un musée afin qu'ils puissent être vus par le public. Ce dont la Nasa, officiellement toujours propriétaires de la fusée, s'est félicitée. "Nous allons suivre la restauration de ces moteurs par l'équipe de Bezos et nous applaudissons le souhait de Jeff de rendre ces restes historiques accessibles au public" a déclaré Charles Bolden, administrateur de l'agence spatiale américaine.

20/03
C'est le printemps!Enfin!Mais il se fait vraiment désirer.
Saison de renouveau,d'espoir,d'amour...



Nuages de giboulées ce soir.

Le satellite Stereo a vu passer la comète Panstarrs dans le champ qu'il observe autour du Soleil.
Ses images, mises bout à bout, montrent l'astre, ainsi que la Terre, se déplacer sur fond d'étoiles. La comète, bien visible de l'hémisphère Nord depuis le 12 mars 2013, reste observables aux jumelles, le soir en direction de l'ouest, après le coucher du Soleil.
La comète vue avec la Terre depuis l'espace
Le satellite Stereo B a vu la comète. Il forme, avec Stereo A, un duo de sondes spatiales de la Nasa capables de voir la « face cachée » du Soleil.
L'une de ses caméras à grand champ a produit une série de clichés extraordinaires montrant l'évolution de la comète. Le point le plus lumineux que l'on voit sur la droite de l'image... c'est nous, autrement dit, la Terre.
Au début de l'animation, on voit sur la gauche, tout près du Soleil, un autre point se déplacer en sens rétrograde par rapport aux étoiles. Il s'agit de la planète Mercure. Ces images attestent de la luminosité exceptionnelle de la comète Panstarrs.
Le capteur du satellite est tellement saturé par le noyau de la comète, qu'une bande noire se dessine sur les colonnes où se forme son image. Si nous avions pu observer la comète dans un ciel noir, elle aurait produit un grand spectacle malgré ses deux points de magnitude en moins par rapport aux prévisions.
L'animation ci-dessous réalisée par nos soins à partir des images brutes de Stereo montre l'évolution de la comète ces dernies jours. La résolution des dernière images est dégradée.

Le diagrame ci-dessous montre que Panstarrs est entre la Terre et Stereo B le 15 mars. En fait le satellite est un peu plus proche de la comète, et celle-ci passe entre le satellite et la Terre.
La visiteuse du crépuscule
De soir en soir, la comète Panstarrs gagne en hauteur dans le ciel du crépuscule. Dans le même temps, son éclat diminue. Passée au plus près du Soleil le 7 mars 2013, elle a atteint son éclat maximal depuis la Terre le 10 mars. Le week-end des 16 et 17 mars, sa magnitude est voisine de 2 à 2,5.
Elle a pris un peu de hauteur depuis sa rencontre avec la Lune le 13 mars. Elle peut donc toujours être débusquée aux jumelles. Il faut la chercher dans la direction de l'ouest. Trois quarts d'heure après le coucher du Soleil, vous avez une chance de la trouver aux jumelles.
Un peu plus tard, un bon ciel permet de la détecter à l'œil nu. Pour en savoir plus sur l'observation de la comète, voire notre événement du 8 mars, ainsi que notre article dans le numéro de mars de Ciel & Espace.
Ci-dessous : la carte pour le 16 mars 2013. La longueur de la queue est exagérée.
13/03
Le salon de l'auto de Genève.C'était super comme toujours,avec ces images,ces sons,les odeurs de neuf dans les autos.
Un vraiment bon moment!
site du salon.Cliquez!












































03/03
Enfin le mois de Mars!!La période de l'année que je préfère qui débute.Espoir de jours meilleurs,de printemps,de chaleur,d'amour...



Promenade à l'abbaye de Tamié.Encore des orbes!